Sauf que vous, vous savez très bien où elle est. Il s'agit de réduire la contribution des plus riches et – lorsqu'on réduit la contribution des plus riches, monsieur Piron – vous avez beau dodeliner de la tête pour nier ce fait – ce sont toujours les mêmes qui paient, car ce que les uns ne donnent pas, ce sont les autres qui le paieront.