L'amalgame, le chantage, maintenant la menace de pénurie par le blocage des dépôts : tout est fait pour ne jamais appliquer la loi sur la réforme portuaire. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Monsieur le secrétaire d'État, avec les autres députés de Marseille, avec tous les élus des communautés portuaires, je vous demande de nous aider à sauver le port de Marseille. Nous devons enfin pouvoir appliquer la réforme portuaire. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC. – Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)