Il n'aura pas échappé à M. le rapporteur que mon amendement ne visait pas le café du commerce mais l'Assemblée nationale. Il est extraordinaire de constater que dès lors qu'il s'agit de faire plaisir à ceux que vous représentez ici, vous vous empressez d'exprimer des intentions dans la loi et que vous refusez un amendement aussi modeste que celui-ci. Mais, en fin de compte, il est compréhensible que vous ne vouliez pas consentir à l'adopter car il réclame un engagement sur la transparence et, « honni soit qui mal y pense » comme dirait Elizabeth II, vous refusez que les choses que ce conseil pourrait mettre au jour soient discutées publiquement dans cet hémicycle. Nous avons bien compris ce qui motive votre réponse. Il ne faut surtout pas s'en tenir à ce que vous dites mais chercher derrière les mots l'essence de votre inspiration.
(L'amendement n° 8 n'est pas adopté.)
(L'article 1er est adopté.)