Mes chers collègues, j'ai laissé MM. Ayrault et Cochet s'exprimer, dans la mesure où leur intervention touchait à l'organisation de nos débats et où il s'agissait donc de vrais rappels au règlement. Je transmettrai leur missive au président de l'Assemblée. J'invite néanmoins les uns et les autres à ne pas personnaliser leurs attaques ; notre institution n'y gagnera rien.
À votre demande concernant la prolongation des temps de parole pour le débat sur le projet de loi relatif à l'immigration, le président de l'Assemblée a indiqué par lettre qu'il appuierait votre proposition si elle était soumise à la conférence des présidents à laquelle il appartient, et à elle seule, de se prononcer sur ce point. Or vous n'étiez ni présents ni représentés à la conférence de ce matin.