Je vais tenter de rentrer dans la voie de l'apaisement. Mais il faut tout de même faire le constat qu'il y a une crise et un passif et si vous persistez, chers collègues, à aggraver ce passif, nous aurons du mal à nous sortir de cette crise.
Nous déplorons tous, dans les rangs de l'opposition, de n'avoir pu mener jusqu'à son terme la discussion sur la réforme des retraites. Et ce n'est pas sans un certain malaise que nous constatons que le Sénat, qui n'est pas élu au suffrage universel, va pouvoir débattre librement de ce projet de loi alors qu'un temps contraint nous a été imposé.
Toutefois, il y a une manière de sortir de ce conflit.
Le groupe SRC comme le groupe GDR, ayant pris acte de ce que nous avons vécu comme un coup de force, …