Monsieur le président, je tiens à faire part de notre étonnement et de notre consternation devant l'attitude de l'opposition.
Je rappelle que mardi, lors de la Conférence des présidents, le président Accoyer aurait accédé à la demande, si elle avait été formulée verbalement en Conférence des présidents, d'accorder trois heures supplémentaires. Or, en l'absence des groupes de l'opposition, il n'a pu accéder à cette demande.
Dans un souci d'apaisement – du reste, dans quel sens faut-il apaiser ? –, à la suite d'une situation de harcèlement verbal et après avoir constaté, une fois de plus, que l'opposition a été incapable de gérer le temps qui lui était imparti et qui est largement suffisant pour exprimer sa position (Exclamations sur les bancs du groupe SRC)...