Tout cela était abusif et je pense que l'on a eu raison, dans l'organisation des débats, de poser un certain nombre de limites.
Toutefois, je rejoins Christophe Caresche quand il souligne que personne ne s'est prêté au jeu de l'obstruction. Je prends à témoin ceux, peu nombreux, qui ont participé comme moi à l'examen du texte en séance depuis le début – je pense à M. Goasguen, à M. Vanneste et à quelques autres. Nous avons eu un vrai débat sur un certain nombre de sujets. Mais trente heures de temps programmé pour quatre-vingt-quatre articles, cela ne fait en moyenne qu'une vingtaine de minutes par article,…