Il ne s'agit pas de verser dans l'angélisme, et nous savons la part de méfiance qu'il peut y avoir entre des interlocuteurs qui ne se connaissent pas. Cette méfiance et les a priori qui l'accompagnent peuvent être levés dans un cadre proche de la réalité des entreprises, au contact des besoins concrets et des enjeux quotidiens des salariés et des patrons des très petites entreprises.
Nous savons, nous qui sommes pour la plupart des élus locaux, que, au niveau des territoires, et en particulier des petites collectivités, les clivages s'estompent bien souvent pour relever des défis de gestion locale qui ne sont ni de droite ni de gauche.