Un jour, il faudra passer de la reconnaissance verbale du fait associatif à la reconnaissance d'un certain nombre d'engagements qui font que, matériellement, on assiste à un affaiblissement du bénévolat.
Jean-Claude Viollet a rappelé qu'elle était la différence entre le mécénat et le bénévolat et il a insisté, à juste titre, sur l'engagement, sur le terrain, de toutes ces personnes qui, dans des associations culturelles, sportives, caritatives, font vivre le tissu social et l'animent.
On ne pourra pas reporter d'année en année ce débat, ni se demander comment on accompagne le développement des associations « loi de 1901 ».