Vous avez évoqué des bénéfices très importants en matière d'émissions de gaz à effet de serre, supérieurs à 50 %. Mais quelle est la méthodologie de calcul ? Quelles sont les étapes de la filière prises en compte ? Les intrants sont-ils intégrés ?
Disposez-vous de chiffres plus précis quant au soutien public à la filière, exprimé par unité de production ou par hectolitre par exemple ?
Quant au taux d'incorporation, fixé aujourd'hui à 6,25 %, quelles sont ses perspectives d'évolution ? Est-il limité par des contraintes techniques par exemple ? A votre sens, quel serait le taux optimum ?
Enfin, il semble que tout ne soit pas très clair autour des agréments européens attribués en 2004 et 2006. Qu'en est-il aujourd'hui ?