En effet, le bilan de M. Vaillant n'avait rien d'exceptionnel. Je comprends les conversions tardives sur la sécurité – c'est dans l'air du temps –, d'autant qu'il convient de faire oublier les échecs du passé. Toutefois, on ne saurait s'en tenir à des points réducteurs, comme celui du nombre de policiers ou de gendarmes ou l'importance des réserves de carburant. Le droit doit s'adapter, notamment en matière d'intelligence économique, sans oublier la sécurité routière qui représente, elle aussi, une grande cause nationale.