Reconduire les étrangers en situation irrégulière dans leur pays d'origine, ce n'est une honte ni pour la France ni pour l'Europe.
À cet égard, je voudrais citer ce que déclarait Lionel Jospin à la tribune de l'Assemblée en 1998 : « […] dire à ceux qui ne peuvent être régularisés qu'ils doivent repartir dans leur pays, qu'ils ont vocation à être reconduits à leurs frontières. C'est simplement le respect du droit international et je dirais même du droit des gens. C'est très exactement cette politique, qui se complète d'une volonté d'intégration ».