Cela veut dire que, s'agissant de l'islamisme, je n'ai aucun point de vue, ni hostile, ni favorable. J'estime que le débat doit exister.
Mes chers collègues, qu'est-ce que c'est que ces parlementaires qui interdisent des mots et qui interdisent des débats ? Nous sommes ici dans le lieu par excellence où l'on doit accepter que l'on parle de tout et que l'on en parle franchement.
Si le débat ne pouvait pas avoir lieu à l'UMP, cela ne m'aurait pas gêné qu'il se tienne ici.
Madame Lebranchu, je vous le répète, je ne suis pas l'organisateur de ce débat, je n'ai aucune part de responsabilité, si ce n'est d'avoir accepté d'être l'un des débatteurs. J'étais prêt à avoir en face de moi des personnes qui pensent différemment. Si ce débat n'a pas lieu, je n'en éprouverai pas une insondable tristesse.