Nous souhaitons que le CAI engage les deux parties, c'est-à-dire le signataire du contrat mais aussi l'État, et que les modalités d'organisation des formations linguistiques tiennent compte des obligations des signataires du contrat, comme l'exercice d'un travail ou l'entretien des personnes à charge. Il faut en effet éviter de pointer un refus d'intégration au motif qu'une personne serait empêchée de suivre une session qui aurait lieu pendant sa journée de travail.
Le deuxième objet de cet amendement est de permettre aux étrangers vivant en France et souhaitant pleinement s'intégrer d'avoir une meilleure pratique et une meilleure maîtrise de la langue française. Pour ce faire, encore faut-il que les pouvoirs publics mettent en place des formations de qualité et en quantité suffisante.