Identique à celui du rapporteur.
Je comprends, moi aussi, la position et les préoccupations de M. Proriol, mais, comme Thierry Mariani, je pense qu'il existerait un risque non négligeable de fraude si l'on accordait l'autorisation de séjour et de travail de manière implicite : le demandeur pourrait se prévaloir du simple dépôt de sa demande, sans révéler, par exemple, la réponse négative qu'il aurait reçue.
Paradoxalement, une mesure apparente de simplification administrative demanderait beaucoup plus de travail de vérification à l'administration.