La politique d'immigration doit être infiniment plus complète et s'appuyer sur l'ensemble des instruments de la prévention et de la répression. Elle doit être aussi une politique de mobilisation de tous les acteurs dans les domaines de l'éducation, de l'économique et du social. Elle doit, enfin, s'accompagner d'une politique volontaire en direction des pays du Sud, singulièrement des pays africains et méditerranéens.
Nous avons vécu un étrange été qu'évoquait tout à l'heure notre collègue Étienne Pinte. Comme l'a souligné Dominique de Villepin, « rien n'a changé et pourtant tout a changé ».