Je suis toujours ému, voire émerveillé, d'entendre nos collègues de l'opposition regretter les anciens présidents de la République issus de notre famille politique.
Pourtant, rappelez-vous, mes chers collègues, ces cortèges organisés par la gauche des années 60 dans lesquels les slogans mettaient à égalité de Gaulle, Franco et Salazar. (« Eh oui ! » sur plusieurs bancs du groupe UMP.) Aujourd'hui, ils insultent Nicolas Sarkozy en le classant parmi les « extrêmes ».