Je ne commenterai que très peu les points qui viennent d'être évoqués. Je dirai simplement à Christophe Caresche qu'il n'a pas à ressentir de regret ou de dépit en constatant que la Commission n'a pas ouvert de procédure d'infraction contre la France.
Ne regrettez pas que la Commission prenne acte du fait qu'il n'y a pas eu de discrimination tout au long de l'été.