Mon avis sera le même que celui exprimé par le rapporteur, monsieur le président. Je me contenterai d'apporter une nuance à ce qui a été dit : pour moi, le mot « choisi » n'est pas péjoratif. Comme je l'ai dit hier à la tribune, la plupart des pays européens ont retenu cet adjectif. Traduit dans leurs langues respectives, il est devenu l'expression de la politique européenne.
J'ajoute que l'on peut se choisir mutuellement, ce n'est pas un acte unilatéral. (Rires sur les bancs du groupe SRC.)