Et c'est avec une certaine culpabilité que je reconnais que nous n'avons pas réussi à le faire comprendre, y compris parmi la population, qui n'a pas encore pris conscience des conséquences d'un tel projet.
Voilà la réalité et vos discours matois, monsieur le ministre, n'y changeront rien. Au-delà de nos sensibilités politiques, je suis profondément convaincu que nous partageons le même point de vue. (Applaudissements sur les bancs du groupe GDR.)