Monsieur le ministre, en mai dernier, lors de l'examen de ce texte en première lecture, j'avais insisté pour que, d'une part, cette réforme prenne en compte l'architecture institutionnelle particulière des régions d'outre-mer et que, d'autre part, elle ne se traduise pas par un recul sans précédent de la parité politique. Malheureusement il faut constater que, au fil des lectures, la situation s'est aggravée.