Je voudrais dire à nos collègues de l'UMP, du moins ceux qui sont restés, et à travers eux, à ceux qui nous ont quittés, qu'ils s'apprêtent à voter la plus extraordinaire régression sociale du quinquennat. Je me souviens de l'extraordinaire enthousiasme de l'ensemble des Français, au-delà de toute divergence politique, en 1981, lorsque le gouvernement de gauche a instauré la retraite à soixante ans.