Je ne veux pas commencer mon propos, monsieur le président, sans vous dire que la manière dont vous avez choisi de conduire nos débats ne vous honore pas. Vous avez choisi de nous bâillonner mais soyez assuré qu'il y aura quelques centaines de députés qui, à l'extérieur, diront de quelle manière nos travaux se sont déroulés.