Je note que M. Woerth a reconnu que la question démographique est, dans le fond, secondaire dans cette réforme.
Les mesures prenant en compte les transformations démographiques ont déjà été inscrites dans la réforme de 2003. Tout avait été prévu – j'ai cité tout à l'heure M. Fillon.
Vous avez précisé que la crise, en creusant les déséquilibres, était responsable de l'accélération de la réforme. Par conséquent, vous faites payer la facture de la crise financière, de la crise d'un système capitaliste, absurde, aux Français modestes. Et depuis 2007, vous faites aussi payer votre mauvaise gestion des comptes publics, les déficits et la dette. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)