Ce n'est pas une insulte, monsieur Woerth. Je constate que vous avez perdu le sens des réalités, que vous ne connaissez pas la réalité de ce que vivent nos concitoyens et que cela n'est probablement pas étranger à vos fréquentations. (Mêmes mouvements.) Continuez, mes chers collègues, vous voyez que vous commencez à comprendre ce qu'il en est.
Monsieur le ministre, vous avez, dans vos propos, à de nombreuses reprises, invoqué le programme du Conseil national de la résistance.