Contrairement à ce que vous affirmez, il n'y a pas de fatalité, pas de solution unique. Notre pays étant riche, le débat doit porter non pas sur la façon de travailler plus, mais sur la répartition des richesses, et nos propositions iront bien dans ce sens.
Par ailleurs, notre collègue Bur, je crois, nous a accusés de vouloir passer à la financiarisation des retraites…