Alors, je trouve un peu fort de café, quand on a été aussi mauvais, de parler d'un ton professoral. À votre place, je me ferais tout petit petit, je m'esquiverais en catimini, et j'éviterais d'aller dire à la face du Parlement combien j'ai échoué en économie.
Vous prétendez que le programme de la gauche ne pourrait pas être appliqué. Laissez donc à la gauche le soin de choisir son programme. (Rires sur les bancs du groupe UMP.) Dans une démocratie, majorité et opposition ont chacun le leur. Nous appliquerons le nôtre dès 2012.