Les femmes que nous rencontrons, qui n'ont pas eu la chance de faire des études et trouvent des boulots comme caissière de Monoprix, subissent le travail à temps partiel. Je ne comprends donc pas comment, dès lors, le COR peut prétendre qu'elles vont faire valider tous les trimestres travaillés. Quelque chose ne va pas dans ce raisonnement. Il ne correspond pas à la réalité. Nous savons bien, et vous-même, monsieur le ministre, l'avez dit en commission, que beaucoup de femmes subissent le temps partiel : elles ne peuvent donc cotiser pour acquérir des trimestres à taux plein. Il faut veiller à ce que le comité de pilotage ne se contente pas de faire des remarques mais travaille à améliorer la situation.