La crise est la conséquence des choix économiques de votre camp. Rappelons-nous les déclarations du candidat Sarkozy qui, vantant certains mécanismes économiques, considérait que la France devait s'aligner sur les États-Unis. Patatras ! Tout s'est effondré. À l'évidence, la crise, c'est vous.
L'article 1er crée donc un comité de pilotage : un de plus ! Il me semble pourtant que nous avons déjà tout ce qu'il faut pour travailler sur ces sujets. On sent bien que ce comité n'est qu'un artifice, de la poudre de perlimpinpin, un comité « soupe aux sous » pour faire avaler les grimaces que vous faites aux retraités.
Il ne sera pas qualifié, en tout cas, pour parler des problèmes majeurs. Rappelons-en quelques-uns, à commencer par la pénibilité, qui n'est nullement traitée dans ce projet de loi : vous le savez, du reste, puisque vous essayez constamment de confondre pénibilité et incapacité. Je connais pourtant vos capacités intellectuelles.