Lorsque nous en avons discuté en commission, j'étais personnellement favorable à l'idée d'obligation, mais il m'a été rappelé que nous étions un pays de liberté et que cet entretien devait donc rester une faculté. Je me suis donc soumis à la majorité. Toutefois, nous avons suggéré – et cela a été accepté – que le bulletin individuel de situation que chacun recevra à l'âge de quarante-cinq ans mentionne expressément que la personne peut bénéficier, si elle le souhaite, d'un entretien individuel. La demande est donc satisfaite. J'émets un avis défavorable.