Mettons-nous au moins d'accord sur le fait de ne compter qu'une fois la somme qui manque : puisque c'est ainsi que les choses se passeront, imputons-la sur le budget de l'État, sans la compter comme un déficit dans les comptes des régimes de retraite. Je n'y reviens pas, mais ce raisonnement ne s'applique pas à la Caisse nationale d'assurance vieillesse.
La deuxième faiblesse de votre dossier est évidemment l'allongement de la durée de vie de la CADES.