Ne nous accusez donc pas de poursuivre je ne sais quelle chimère dans ce domaine.
En revanche, ce que je sais – et Laurent Hénart l'a bien montré –, c'est que si l'on décidait de financer le système de retraites par l'impôt, il ne s'agirait plus d'un système par répartition, puisque celui-ci repose sur le lien, établi par la cotisation, entre ceux qui travaillent et ceux qui ne travaillent plus.