Je crois que tout le monde a reconnu la nécessité d'une réforme. Évidemment, tous les orateurs n'ont pas la même opinion sur ce qu'elle doit être.
Je relève avec plaisir les propos de M. François Bayrou qui a rappelé les chiffres des déficits – 32 milliards d'euros cette année, 45 milliards en 2020 – pour constater que ne pas réformer notre système constituerait une injustice à l'égard des générations futures.