On peut discuter les chiffres mais c'est une réalité.
Si l'on envisage avec réserve l'augmentation des cotisations, si l'on écarte la baisse des pensions et la hausse de l'impôt, il reste une seule possibilité – c'est pourquoi j'ai dit que cette réforme était à mes yeux raisonnable – celle d'augmenter le nombre d'actifs par rapport au nombre de retraités. Or nous ne pourrons y parvenir sans une véritable politique de l'emploi, sujet qui n'a pas été abordé jusqu'à maintenant (« Si ! Si ! » sur les bancs du groupe SRC), ce qui, à mon avis, est une lacune.