Le texte sera définitif puisque nous allons voter sur le projet qui a été adopté par le Sénat après un remarquable travail ayant uni les sénateurs de gauche et de droite dans une commune défense française, nationale, de notre conception de la défense des droits de l'homme. Par conséquent, ce n'est pas un texte de régression ; il apporte au contraire, sur un certain nombre de points, des précisions indispensables.
Je ne voudrais pas qu'il reste l'idée que la France serait en retrait.