On utilise souvent les appellations avec un alibi qui ne tient pas debout : on incorpore un peu de produit AOC dans les ingrédients pour pouvoir utiliser l'appellation d'origine. Cela affaiblit la notoriété de l'appellation. En Champagne, par exemple, on vend des sels de champagne, des savons de champagne, alors qu'à l'analyse ou à la dégustation, on ne trouve pratiquement pas le produit AOC. C'est très néfaste pour les AOC. Nous comptons donc sur M. le ministre pour accepter cet amendement.