Cette position était intenable et, pour tout dire, inexplicable. Comment imaginer d'interdire la dissimulation du visage dans certains lieux publics – hôpitaux, bureaux de poste ou autre administration –, et de la laisser, dans un commerce de quartier – je le dis en pensant à certains d'entre nous, élus de communes comportant des quartiers difficiles –, à la seule appréciation du commerçant ?