Monsieur le président, madame la ministre d'État, mes chers collègues, j'ai l'impression de revivre le débat qui s'est tenu ici même, il y a quelques décennies, au sujet de l'excision. Alors que nous nous battions contre cette pratique barbare, inacceptable, condamnable, d'autres, et pas des moindres, mettaient en avant le sacro-saint droit de vivre dans sa culture pour interdire de l'interdire.