Je suis le premier ministre de l'agriculture à avoir ouvert un combat frontal avec la Commission en rassemblant vingt-deux États à Paris. Ensemble, nous avons lancé l'appel de Paris pour lui dire que nous n'étions pas d'accord avec la réduction de 40 % du budget de la PAC. Il ne s'agit pas là d'une attitude conciliante vis-à-vis de la Commission, elle est même agressive. Je l'assume totalement, car j'estime que toutes les limites avaient été dépassées.