Presque tous, monsieur Paul. Ils ont compris que ce n'était pas leur intérêt.
En revanche, qu'on garde des antennes locales, qu'on ait la possibilité d'avoir des représentations locales à un moment ou à un autre sans qu'elles puissent gérer elles-mêmes les quotas, pourquoi pas ? Mme Le Loch, qui est présente, m'a déjà interpellé à plusieurs reprises sur ce sujet. Nous allons y revenir. Attention cependant : si on veut vraiment préserver l'identité de notre littoral, sa capacité à avoir une pêche présente partout, il faut mieux s'organiser. C'est ce que demandent tous les professionnels de la pêche.