On peut toujours rêver, mais l'argent public – d'État, des collectivités mais également des chambres consulaires, y compris des chambres d'agriculture – devient de plus en plus rare. Face à cela, on peut certes considérer que la seule réponse consiste à ne rien changer et à vivre comme dans les années soixante.
Cependant, de mon point de vue, la réorganisation est nécessaire. Il faut plus de productivité. Les installations ne se passent plus de la même façon et l'on utilise des moyens de communication plus modernes. Les agents qui s'occupaient de l'installation en agriculture dans les ADASEA sont réintégrés dans les chambres d'agriculture et feront leur travail avec la même motivation et la même compétence.
(Les amendements identiques nos 764 et 1128 ne sont pas adoptés.)
(L'article 17 ter A est adopté.)