Ainsi que Christine Lagarde et moi-même l'avons souligné, nous adapterons le dispositif de réduction des dépenses complémentaires en fonction de l'évolution des perspectives de croissance.
Notre politique est-elle sincère ? Aller sur ce terrain-là, c'est nous faire une mauvaise manière. Nous sommes absolument sincères dans ce que nous voulons engager : protéger les publics fragiles et faire partager cet effort – car c'est bien d'un effort qu'il s'agit – à l'ensemble de la population et, pour qu'il soit accepté, le faire porter un peu plus sur ceux qui en ont davantage les moyens.