Monsieur le président, mesdames, messieurs, permettez-moi de vous apporter quelques éléments de réponse et de réflexions complémentaires à ce que Christine Lagarde et moi-même avons déjà dit en ouverture de ce débat sur l'orientation des finances publiques qui, s'il est rendu singulier par le vote qui se déroulera dans quelques instants, ne rentre pas dans la logique du débat budgétaire.
Nous nous sommes efforcés d'être précis, sérieux, méthodiques, mais nous regrettons de n'avoir pu encore vous convaincre, mesdames et messieurs les députés de l'opposition. Il nous reste toutefois l'été pour nous reposer – surtout vous, nous un peu moins - et nous nous retrouverons à l'automne. (Rires et exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)