C'était cela, le choix de l'intérêt général.
Second exemple : en 2007, la croissance était là. Nous avons souhaité la stimuler, d'une part, en revalorisant le travail, et, d'autre part, en activant l'investissement des entreprises. Pour cela, nous avons accepté des baisses d'impôts. Mais aujourd'hui, nous sommes dans un contexte différent et je crois que nous devrions être unanimes pour promouvoir une idée forte, celle de la protection vigilante et rigoureuse de nos recettes, qu'il s'agisse des recettes de l'État…