Nous avons absolument besoin de trouver chaque année 250 milliards d'euros, c'est-à-dire 1 milliard d'euros par jour ouvrable. Dès lors, quoi que l'on puisse penser de nos créanciers, dont les deux tiers d'ailleurs sont des non-résidents – c'est l'épargne étrangère que nous sollicitons –, il faut qu'ils aient confiance.
Mais il y a un deuxième argument : nous devons absolument rester dans le peloton de tête, dans les pays moteurs de l'Europe aux côtés de l'Allemagne.