Monsieur le député, vous lisez trop les journaux. Pourtant, vous ne les lisiez pas lorsque l'ambassadeur que vous avez cité et que j'ai fait nommer ne se plaignait pas de ce dont il se plaint aujourd'hui.
S'il a très bien servi la France, si je salue son action à Dakar, cela ne lui donne pour autant ni un droit de regard sur les nominations ni un droit de critiquer son successeur. Figurez-vous, monsieur le député, que ce dernier est un spécialiste de l'Afrique.