M. Rufin va même plus loin en déclarant que le Quai-d'Orsay est complètement dépossédé des dossiers africains, et que tout est concentré entre les mains d'un seul homme, le secrétaire général de l'Elysée, qui agit d'autant plus librement que, préfet, il ne connaît pas véritablement l'Afrique et qu'il ne rend compte ni devant le Parlement – où sont donc les nouveaux droits du Parlement ? – ni devant le Gouvernement. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)