Ne pensez-vous pas qu'augmenter la proportion de personnels locaux – je parle bien de personnels locaux, pas de résidents français du pays hôte recrutés sous contrat local – serait un formidable levier pour répondre à la préoccupation, que je partage avec Jean-Pierre Brard et tous nos collègues, de l'usage et du rayonnement de notre langue dans le monde ? Ne pourrait-on pas là faire d'une pierre deux coups ?