Il y a, globalement, ceux qui pensent que ce texte ne va pas dans le bon sens – c'est évidemment leur droit –, ceux qui considèrent qu'il ne changera rien et ceux, dont je fais naturellement partie (Sourires), qui estiment qu'il marquera un changement essentiel dans l'histoire agricole française, mais qu'il devra aussi s'appuyer sur une régulation européenne des marchés et sur un renouvellement de la politique agricole commune.