Certains troupeaux ont été victimes de trois attaques en quelques jours, d'autres de cinq attaques en deux semaines. On les redescend progressivement dans les bergeries, ce qui n'est pas sans poser de gros problèmes pour l'alimentation des bêtes et pour l'entretien de la montagne.
Comment accepter le sacrifice organisé par l'État de l'élevage en montagne dans un département comme le mien qui compte 287 000 ovins pour 130 000 habitants ?